Le Transfert qui Secoue l’Europe

Victor Osimhen s’apprête à signer à Al-Nassr à Riyad. Ce n’est pas seulement un transfert : c’est un contrat de 45 millions de dollars, entièrement exonéré d’impôts, qui redéfinit la valeur des attaquants en 2024.

Après huit ans à modéliser les transferts avec l’apprentissage automatique chez ESPN, je confirme : cette affaire brise toutes les règles — surtout sur la valorisation des joueurs, la structure contractuelle et la saturation du marché.

« L’avenir du football, ce n’est pas seulement le talent — c’est l’efficacité fiscale. » — Moi, probablement en train de boire mon quatrième énergisant à 3h du matin.

Ce n’est pas juste l’argent : c’est une stratégie. L’Arabie saoudite joue aux échecs avec l’argent — et Osimhen est sa pièce reine.

Pourquoi la France l’entend en premier ?

Fabrice Hawkins (Radio Monte Carlo) a révélé l’info. Mais pourquoi lui ? Parce que chaque jet privé atterrissant à Charles-de-Gaulle laisse des traces. Les clubs saoudiens ne font pas de communiqués comme Real Madrid ou Bayern Munich. Ils chuchotent dans les penthouses, sur fond de champagne et de silence.

Les chiffres ne mentent pas (mais ils sourient)

Al-Nassr propose :

• Salaire annuel net : 40 M€ (sans impôt)
• Bonus annuels : +500 K€ par performance
• Participation potentielle au Mondial des Clubs FIFA 2025

Osimhen pourrait gagner plus qu’un entraîneur de Premier League en une seule saison… sans jamais payer d’impôt.

Alors que dit cela sur les inégalités salariales mondiales ? Ou encore… sur Naples ? Ils seront payés pour le libérer — ce qui devrait les ravir… mais aussi les inquiéter. Car perdre son attaquant vedette pour un paradis fiscal, c’est vite devenir vulnérable.

Cas-type : Griezmann a quitté Atlético pour 18 M$ / an après avoir entendu qu’il « ne gagnerait rien ». Aujourd’hui, il joue en Turquie sous des conditions similaires… et son ombre poursuit toute une équipe.

Bonus : Galatasaray était aussi dans la course ?

Oui. Mais ici, l’économie comportementale entre en jeu :

• Galatasaray offre du prestige — mais pas d’exonération fiscale. The brand compte-t-il plus que le revenu net ? Même si cela ne permet pas un flexing Instagram Messi-style ? Non. Pas quand le portefeuille parle plus fort que les chants des supporters.

Conclusion : ambition ≠ fidélité quand le chèque est écrit en euros sans retenue à la source. Deux mots clés : perception de valeur — surtout chez ces stars qui voient désormais leur personne comme une marque autonome plutôt qu’un actif club. Passez au nom « monétisation du joueur » ou « capitalisme footballistique », peu importe — Osimhen chevauche cette vague.